ACCOMPAGNEMENT DANS LE DEUIL 

Pour le deuil que vous vivez, qu’il soit récent ou ancien et quelque soit le type de lien que vous aviez avec la personne disparue.

J’ai été formée par les enseignants/formateurs de l’association Chemin de deuil et je vous propose des séances d’accompagnement individuelles et des stages en groupe. (Voir page Stages)

Il n’y a pas de nombre de séances préconisées : selon votre besoin, cela peut être une seule séance, ou plusieurs, avec ou sans régularité.

Deuil « récent »

Je mets ce mot entre guillemets, car la notion de temps n’est pas grand-chose dans le processus et la vivance du deuil. 

Cependant, on peut parler d’imminence, d’urgences, de rapidité dans la disparition, de force de la souffrance (raz-de-marée), d’intensité et de choc.

Vous pouvez donc me contacter sans hésiter, si vous êtes dans cette expérience.

Deuil « moins récent »

Mon accompagnement est possible à tout moment dans le processus du deuil, sans que vous preniez en compte la date de l’épreuve vécue.

Le mental pourra vous dire « Oh mais ça fait longtemps…, je suis habituée à souffrir…» ou bien: « J’y arriverai seul(e)… ».

Très bien…, mais si des poids peuvent être déchargés en vous? Des noeuds, des images traumatisantes, des incompréhensions, alors il faut aussi prendre soin de vous. 

Je peux vous apporter certaines impulsions nécessaires.

Outils d’accompagnement: 

Bien sûr, l’écoute approfondie, attentive.

Mais aussi une forme symbolique, des illustrations simples à vous donner.

Des explications, des clarifications, des perceptions, avec mon oeil extérieur.

Enfin, aussi, le réconfort…

Tarif: 

Prix : 50€ pour 1 heure (me demander si problème financier, pour cet accompagnement)

? En visio ou en présentiel (Coulommiers, 77120)

Pour qui ? Pour adultes, adolescents, enfants (avec présence des parents, si souhaitée)

Contact ici


À la pensée:

– Personne ne pourra m’aider.

Je répondrais:

– Ne crois pas ça…


« Le deuil crée une souffrance qui peut être cruelle, lourde, omniprésente. Mais cela peut aussi être, une souffrance muette, quasi-invisible pour autrui, parce que camouflée. Le deuil peut aussi être inconsciemment évité ou mis de côté…Et il peut prendre bien d’autres formes encore.

Mais dans le fond, le deuil a sa propre force, son propre temps et la douleur est là.

Force est de constater que notre société ne prend pas (ou pas suffisamment) soin des personnes endeuillées et qu’il y a peu d’espace pour elles. 

Je parle aussi du traitement et de la reconnaissance de la pénibilité de la personne en deuil, au regard de notre société… 

Parfois même, c’est dans la sphère relationnelle intime qu’on ne peut pas s’exprimer librement, ou pas assez, ou bien peu… Aussi, les relations interpersonnelles intimes ne peuvent pas tout éponger, parce qu’elles oeuvrent dans d’autres paramètres existentiels, ou encore aussi, elles peuvent être fondamentalement déséquilibrées. 

Dans bien des schémas relationnels, le deuil est pourtant là et ce n’est pas un évènement qui devrait être vécu sans soin et sans écoute. »

Isabelle Suray